Inspiré par la lecture du livre « Soif », d’Amélie Nothomb, l’objectif de ce récit est, pour l’auteure, de chercher à dire, de manière renouvelée, que s’être laissé fixer sur une croix, c’était, pour Jésus le nazaréen, contre toutes apparences, s’enfoncer dans la vie. Ce paradoxe fait aujourd’hui encore tourner le monde.
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Marion d’Elissagaray a trois passions qui n’en font qu’une : la terre !
- Celle de la Bible qui la questionne depuis l’enfance et l’a conduite à l’université : elle est titulaire d’un DEA de philosophie des religions avec une spécialisation dans le judaïsme ; depuis plus de 30 ans, elle en creuse quotidiennement le sens. - L’argile souple que l’on façonne pour en faire les beaux objets utiles du quotidien, mais aussi celle qui dit, à travers nos mains, ce qui parfois ne peut se dire avec des mots. Elle a fondé, avec Michelle Gyte en 1993, l’espace Parole et Racines qui leur a permis de devenir potières et céramistes professionnelles, mais également formatrices auprès de publics d’une grande diversité, l’objectif premier étant de mettre l’argile au service d’une pédagogie de l’éveil, de la créativité et du sens. C’est dans ce cadre-là, que les sessions « Bible et argile » ont vu le jour il y a plus de 20 ans, lieux ouverts à tous, où parole biblique et parole des mains, se tissent et se rejoignent pour ouvrir le chemin du sens. (cf www.parole-et-racines.asso.fr) - La terre, belle et bonne enfin, celle qui porte les bêtes qui ruminent, les oiseaux qui zèbrent le ciel, celle dont on arpente les creux… et les sommets de préférence, celle qui nous nourrit et qu’il convient d’aimer. |
204 pages - 15 €
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