S’il est un mot pour caractériser les cinq années qui courent de 1992 à 1997, c’est le mot « vertige ». Michel aime à dire que sa peinture ne montre alors « rien de grandiloquent ».[...]
[...]Le vertige prend alors une autre dimension car cette nouvelle voie passe par une expression dans une langue neuve dont il ne maîtrisait pas alors tout le vocabulaire. Au surplus, il désire surtout éviter tout mimétisme. Il lui faut aller chercher profondément en lui ce qui lui est plus qu’essentiel, consubstantiel même, ce à quoi il tient par-dessus tout pour garder le désir de peindre. À de multiples reprises, il pense ouvrir des pistes, explorer des voies plus singulières, mais inventer son propre langage n’est pas simple. La décennie 90 ne sera pas pour lui un temps de sérénité.[...] |
142 pages - 22 €
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